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 NWU_ C'est partit!

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My_immortal
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My_immortal
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   Posté le 23-04-2004 à 19:39:56   Voir le profil de My_immortal (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à My_immortal   

Voici le 1st Post du jeu!
Avant toute chose, pensez à passer regarder les règles, svp.

Inscriptions:
Bah oui votre personnage doit s’inscrire pour venir c’est comme partout!

=> Nom : (a moins que vous vouliez le garder secret ou que vous le connaissiez pas)
=> Prénom : obligatoire
=> Age : obligatoire (mais pas plus de 45ans et pas moins de 16 ans)
=> Sexe : obligatoire (masculin, ou féminin, pas de je ne sais pas!!)
=> Arme : 3 maxi (pas d’arme a feu, pas de bazooka ou autre chose trop puissant! Pour ceux qui n'ont pas d'idées, il y a une jolie liste d'arme pour exemple dans les règles.)
=> Force: dite dans quel élément vous êtes doué (Feu, Glace, Foudre, Eau, Terre, Vent, Sacré, Ténèbre, Poison, neutre) cette caractéristique vous donne des faiblesses et des points fort, elle est obligatoire
=> Magie : 2 sorts de niveau 1 au choix
=> Invocation : Une chimères aux puissants pouvoirs dont vous serez le maître (Une liste est disponible dans les règles. Pour ceux qui voudrais autre chose, proposez, je suis ouvert aux propositions)
=> Attaque spéciale: obligatoire (son nom. Pour plus d'info sur l'attaque spéciale, aller voir les règles)
=> Job : n’importe (mais attention, si vous choisissez d'être tireur d'élite et que votre arme est une massue... ça risque de vous poser qq soucis...)
=> Vécu : obligatoire (racontez ce qui a poussé votre perso a venir dans cette univeryité)
=> Style : obligatoire . Décrivez vous


***les questions, remarques, demandes, ect doivent être postés dans la partie FAQ du jeu, merci!***

Voici, ici commence le jeu! Bonne chance!
__________________________________________________________________________________________________


Inscription:
=> Nom: - - - (Inconnu)
=> Prénom: Lloyd
=> Age: 18 ans
=> Sexe: Maculin
=> Arme : Une Masamune et une arbalète à bras légère
=> Force: Ténèbre
=> Magie: Quart et Adès
=> Invocation : Odin
=> Attaque spéciale: "Terre promise"
=> Job : Aucun particulié
=> Vécu : Mon village natal à été attaqué par une bande de brigants. Ils ont enlevé mes 2 soeurs (Shana, Sophitia). Je viens ici pour acquérir les moyens de me battre pour les retrouver.
=> Style : 1m86. Cheveux court de couleur platine. Yeux bleus. Vétu de noir de pied en cape.


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   Posté le 23-04-2004 à 20:54:39   

Inscription:
=> Nom: Pendragon
=> Prénom: Uther
=> Age: 20 ans
=> Sexe: Masculin
=> Arme : épée à deux mains, arc long
=> Force: Foudre
=> Magie: Foudre, soin
=> Invocation : Golgota
=> Attaque spéciale: "Haine du dragon"
=> Job : chevalier
=> Vécu : guerrier expérimenté dans l'art du combat, il a été projeté dans un temps qui n'est pas le sien. Depuis cet évenement, il essait de regagner son époque, mais en vain pour l'instant...
=> Style :

EDIT DE NAPALM: y'avait une image ici mais le hot-linkage (mettre un lien image sans demander l'avis du webmaster du site) est interdit sur le forum et les forums qui le font sont fermés sans préavis, si vous tenez VRAIMENT a mettre une image envoyez la moi et je la mettrait sur le site et ca sera bon (dans tout les cas limitez les images ca serait mieux)

Message édité le 25-04-2004 à 16:50:14 par NAPALM
My_immortal
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   Posté le 24-04-2004 à 14:24:02   Voir le profil de My_immortal (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à My_immortal   

Lloyd:
C'était le premier jour d'ouverture de l'NWU (Napalm Warrior's Univercity). Une foule déja nombreuse s'était rassemblée devant l'entrée du campus pour poser sa candidature. Il y avait surtout des habitants de la ville voisine. On pouvait également y voir plusieurs personnes totalement étrangères de cette contrée. D'après ce que j'avais entendu, il y aura pendant près de deux semaines de nombreuses personnes venant de tout le globe pour devenir membre de cette université.
Soudain, on entendit une voix sortant des hauts-parleurs. Elle annonca qu'un premier groupe de 30 personnes était autorisé à entrer dans le campus pour l'épreuve d'entrée. Puis la liste de ces trente noms se fit entendre. Ces trente personnes avait toute l'air de guerriers déja expérimentés, robustes, et prêt à tout pour entrer dans cette uni. Un d'entre eux retint mon attention. C'était Uther Pendragon. Je pensais tout bas, quelle chance il avait d'être reçu dans le premier groupe!
Quelques temps après j'étais appellé dans le second groupe. Heureux, j'entrais donc dans le campus. Un homme en uniforme, surement celui de l'uni, m'annonca que l'épreuve d'entrée aurait lieu dans une heure dans l'arène de combat, et que je pouvais profiter ce temps pour visiter le campus. Je fis donc un petit tour. Dans tout le campus on pouvait entendre sortant des hauts-parleurs les heures d'ouverture des divers batiments de l'université. L'heure passa extrement vite, je me dirigea alors vers l'arène de combat. On me fit signe d'aller au centre de l'arène. Une personne dans les gradins nous dit ceci:
"Bienvenue dans l'arène de la NWU! Ce sera ici que votre épreuve d'entrée se déroulera. Vous combattrez deux autres prétendants. Celui accumulant 2 défaites sera refusé! Celui accumulant 2 victoires sera intégré dans l'élite." Puis il désigna 2 hommes dans l'arène pour commencer. Les autres allèrent s'installer dans les gradins pour attendre leur tour. Personne ne savait vraiment ce qu'il avait à faire. On était sûr que d'une chose; il fallait gagner! Trois combats passèrent, j'étais tendu. Puis j'entendis mon nom. C'était à moi de combattre!
En face de moi, c'était pas un homme, mais un tas de muscle, une vrai brute. Il était armé d'un grand cimeterre. Il brandit son arme et commença une demonstration de ses talents pour impressionner l'assistence. Je le regardais faire, pour trouver un point faible. Je m'aperçus rapidement que c'était pas au corps à corps que je le battrais. Finalement, il stoppa sa demonstration, et me fit signe de m'approcher. Je tendis le bras gauche dans sa direction, le visa, et décocha une flèche de mon arbalète qui l'attégnit en pleine poitrine. Il arracha la flèche de sa poitrine, déclara que c'était pas une brindille qui l'arreterait avant de tomber à genoux puis de s'écrouler de tout son long sur le sol, face contre terre. Une équipe de médecins évacula mon adversaire. Puis on me demanda si je pouvais enchainer mon deuxieme combat. Je fis un signe de la tête pour dire oui. Je rechargea rapidement mon arbalète.
Mon nouvel adversaire parraissaitt moins puissant, mais il parraissait également plus futé que le premier. J'vais surement avoir plus de peine cette fois-ci. Sa lance à la main, il se mis à faire des pas sur le côté. Je fis de même, une main sur le foureau, une sur le pommeau de ma lame. Après avoir fait un tour presque complet, je compris alors ce qu'il faisait! Il se consentrait! Il allait invoquer sa chimère! Je fonça donc dans sa direction pour l'en empêcher. Mais au moment où j'allais arriver sur lui, je vis soudain, mon adversaire de façon trouble, puis plus du tout. Quelque chose se materialisait devant lui. Il avait réussi son invocation. Un enorme dragon alors apparut. Il me regardait fixement. Il ouvrit la bouche et je vis une boule d'energie se former entre ses puissantes machoires. J'entendis alors mon adversaire crier:
"Bahamut zéro, lance ton Ouroboros! Ravage mon adversaire!" Je compris que j'étais en mauvaise posture. Si cette attaque me touchait en plein fouet, ça serait la fin pour moi. Bahamut zéro lança alors un puissant pilier de flammes bleues sur moi. Je sauta sur le coté, mais trop tard. L'attaque me toucha à la jambe. Je ne la sentais plus, comme si je l'avais perdue. Mon adversaire leva les bras au ciel criant victoire. Je me releva tant bien que mal appuyé sur ma masamune. Je regarda droit dans les yeux de mon adversaire, lui faisant comprendre que je serais pas aussi facile à avoir. Soudain, il se tint la poitrine . Son invocation l'avait également touché. Je tendis le bras gauche dans sa direction, le visa, et décocha une flèche. Cependant, la flèche ne toucha jamais sa cible. Mon adversaire arreta net la flèche d'un coup de lance. Puis il se lança sur moi à toute vitesse. Je n'eu pas le temps de lever mon arme pour parer son coup qui transperça mon autre jambe. Je tomba à genoux, loudrement blaissé. Je ne pouvait pas abendonner! Je ne devais pas laisser tomber mes deux soeurs! Je me battais pour elles! Rassemblant toutes mes forces, je lança sur mon adversaire, qui revenait à la charge, mon sort Quart. Il le pris de plein fouet. Ma magie avait emplifié la douleur dans sa poitrine, ce qui lui obligea de mettre un genou à terre, mais il n'étais pas battu pour autant. Je me releva, et marchais appuyé sur ma lame dans sa direction. Arrivé portée, je pris mon arme à 2 mains, et allais lui mettre le coups de grace. Mais à ce moment meme, il fit un bond en avant et me planta un poignard dans l'épaule. J'en fis tomber ma masamune sur le sol. Il me sussura à l'oreille:
"J'ai gagné, tu ne seras jamais inscrit dans cette université!" Ce qui me mis dans une rage folle, décuplant mes forces. Je le projeta en arrière et lui sauta dessus et me mis à le frapper avec mes poings. Je le frappais de toutes mes forces, avec la force de la colère. Je frappais, frappais, jusqu'à ce que je m'évanouisse d'épuissement.

Je me reveilla, à l'infirmerie, une femme en uniforme étais assis à mon chevet. Tout de suite, je lui demanda si j'avais été pris dans l'université. Elle me répondit que j'étais salement amoché, et qu'il faudrait quelques temps pour me remmettre d'aplomb, mais que mon adversaire était quand à lui presque totalement défiguré et toujours dans le coma. Et ajouta que j'avais réussi l'épreuve et que j'étais affécté dans les troupes d'élite. Soulagé, je m'endormis. J'avais réussi à rentrer dans cette université! Sophitia, Shana, tennez bon! Je vous retrouverais!


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better
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   Posté le 25-04-2004 à 23:39:06   Voir le profil de better (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à better   

=> nom: Igor le Terrible fils de Leetah mage de Obéron roi des Elfes

=> âge: 25 ans

=> sexe: masculin

=> Arme : Hache de guerre, épée Barbarian II, francisques

=> Force: Feu

=> Invocation : Phénix

=> Magies: Brasier Soin

=> Attaque spéciale: marteau de Thor

=> Job : ex- commandant des armée de terre élfiques, actuellement : vagabond

=> Vécu : Je suis ce qu'on pourrait appeler un orphelin de naissance, car étant très jeune je fut reccueilli par les Elfes. Jusqu'à ma douzième année je mis toute mon énergie pour diminuer les différences que j'avais avec mes concitoyens. J'appris donc toute les téchnologies propres à ce peuple (maniement des armes de portées, etc). Mais vers mes 12 ans je réalisa que ma différence pouvait m'apporter bien des avantages, je décida d'aquérir les connaissances propres aux nains. Dans ce but je lut tout ce qui s'y rapportait dans la bibliothèque royale, je remarqua que la hache prenait une place très importante dans la culture naine, je m'en procura une sur un marché parallèle (son père-adoptif refusa qu'il ait un quelquonque contact avec les nains, en effets les deux peuples se vouaient une guerre sans merci). Je m'entraina avec contre de vieux arbres morts en étant mon propre maître d'arme, le résultat fut que j'avait une technique unique, je n'avait donc pas à craindre que mes adversaires s'attendent à mes mouvements. Au fil des années je me fit reconnaître de tous les elfes comme faisant partie de leur peuple, je fut donc autorisé à combattre dans leur armée. Compte tenu de mes capacité guerrière spéciale on me plaça dans l'unité spéciale des opérations secrètes en territoires ennemis, Je devins vite gradé dans cette unité. On me proposa un poste comme chef de sections dans l'armée de terre. Quelques promotions plus tard je fut commandant des opérations militaires élfiques. Il y a 2 ans on me proposa d'être le port-parole des elfes pour la négociation de la paix avec les nains, je fut un interlocuteur brillant car les deux camps me faisait confiance, la paix fut négociée et le commerce repris entre les deux peuples. Je devins commandant des armée de terre, nos ennemis actuels, les humains, sont tellement impressionné qu'un nain soit à la tête de l'armée élfique qu'ils se font terrassé en une seule vague. C'est ainsi que nous les avons repoussé de nos territoires ancestraux. Il y a une année mon père-adoptif devint très malade et me fit revenir à la capitale, il me confia ses secrets de mages avant de mourir. Le premiers ministres en fut terriblement jaloux et m'accusa d'avoir tué mon père, personne ne le crut, mais il engagea des tueurs et je dus fuir pour que l'ordre règne dans mon pays. C'est ainsi que j'ai décidé de venir à la Napalm Warrior University, il m'a fallut 6 mois pour arriver jusqu'à ce lieu en évitant les assassins à ma poursuite.

=> Style : 1m20 de haut pour 90 cm de large, long cheveux roux, des vétements de peau dechèvre, une cape bleu-nuit en tissu fin, une cotte de maille , colérique impulsif

=> avertissement: j'ai les humains en horreur et j'éprouve de la pitié et du dégout pour tout ce qui mesure plus de deux mètre

Message édité le 26-04-2004 à 12:31:14 par better


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   Posté le 26-04-2004 à 12:38:49   Voir le profil de My_immortal (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à My_immortal   

Haut parleur:
"Igor le Terrible, vous pouvez entrer dans le campus."

Un homme arrogant portant un uniforme de l'université vous attend. Il vous dit:
"Un nain, cela fait longtemps qu'aucun nain n'était passé dans la région. Vos états de service vous honnorent, cependant je peux vous permettre de faire partie de cette université uniquement si vous réussissez à prouver que vous êtes aussi valeureux qu'un homme. Tout ce que vous avez pu faire par le passé est rien comparé à ce qui vous attend ici.
Votre épreuve sera un duel contre moi dans l'arène de combat dans une heure. Dites-vous bien que je ne vous ferais aucun cadeau! Soyez à l'heure, je n'apprécie pas les retardataires, à moins que le courage vous manque!"


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   Posté le 26-04-2004 à 12:45:58   Voir le profil de NAPALM (Offline)   Répondre à ce message   http://www.nainwak.com   Envoyer un message privé à NAPALM   

=> Ne le sait pas et ne pense pas le savoir un jour (mais qui sait...)

=> Prénom : Arnathor

=> Age : 17

=> Sexe : Masculin

=> Arme : Epée de chez Durandil, Canif de chez Durandil, Hallebarde de chez Durandil (hé oui je sait, j'ai les moyens)

=> Force: Sacré

=> Magie : Saignée, Vie

=> Invocation : Arkh

=> Attaque spéciale: Exécution de l'aurore

=> Job : Guerrier au chomage

=> Vécu : Réveillé un jour totalement amnésique dans le camp d'entrainement de la secte Kagrahim j'ai été enrôlé de force dans leur rangs sous le nom d'Arnathor, seule et unique chose dont je me souvienne de mon passé. Durant mon séjour j'ai remarqué la fille du grand prètre, d'une bauté parfaite amis n'étant de loin pas le plus avantagé physiquement de la secte je me doutait bien que je n'arriverai jamais a la courtiser. Ayant un jour remarqué que le grand prètre était en fait un officier a la solde de l'Empire afin de leur fournir des combattants fanatiques et sachant que la fille du grand prètre était contre l'empire je me suis enfuit au prix de maintes blessures suites aux nombreux corps a corps avec les autres membres de la secte qui voulaient me garder parmis eux, espérant ainsi me faire apprécier de cette jeune filles aux yeux magnifique. C'est suite a ces combats que j'ai décidé de me tourner plus vers la magie que ver les armes, gardant tout de même mes 3 meilleures lames: des Durandil forgées dans les mines par des nains. Mon périple vers l'université fut long et dangereux et plusieur fois, au crépuscule, il m'a semblé voir dans le lointain une silouhette encapuchonnée ressemblant étrangement à un membre de la secte pourtant ils ne peuvent pas m'avoir suivit, la règle absolue empéchant quiquonque de sortir de l'enceinte sacrée avant le jour de Krom. Il devait sagir de queleque voyageur égaré qui aurait décidé de me suivre, n'ayant aucun autre but dans cette époque dévastée par le mal. Pourtant je doit reconnaitre que des faits inexplicables se onst passés durant le voyage, mêmes aux moments de plus grande disette, en plein hiver, alors que j'aurait été prèt a me couper un bras pour le manger, j'ai toujours trouvé du gibier au matin a coté de moi, mystérieusement apporté durant la nuit. C'est pour cela que cette ombre est pour moi plus un ami qu'un ennemi et j'espère ardemment savoir qui se cache sous cette cape, qui sait, peut être ais-je vraiment réussi a attirer l'attention de la fille du grand-prètre sur moi...

=> Style : Humain assez ventripotent, doué au combat mais préférant la magie, mon expérience de la religion me permet d'utiliser des attaques sacrées. Grand foireur et débiteur de conneries je prétends être un bourrin subtil sachant tirer parti de ses propres faiblesses.


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Helvetorh
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   Posté le 26-04-2004 à 12:48:29   Voir le profil de Helvetorh (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Helvetorh   

Inscr1ption:
=> Prénom: Helvetorh du Bal-Sagoth
=> Age: 29 ans
=> Sexe: Masculin
=> Arme : double arbalète, haches de jet et une dague
=> Force: ténèbre
=> Magie: Quart, sidéral
=> Invocation : Nospheratu
=> Attaque spéciale: l'utilisation de la fleche indestructible de Behemoth
=> Job : historien
=> Vécu : je suis la, sans que personne ne me remarque et je vous vois alors que personne ne me voit. Mon passé, ainsi que ma volonté de faire partie de cette univeryté est mysterieuse.
=> Style : 1m80. Longs cheveux bruns foncé à la lumière, noir dans l'ombre. Yeux bleu eclatant. J'ai l'allure d'un vrai viking physiquement. Je m'habille toujours en noir, avec des fois du vert ou brun et j'ai a mes poignet quelques bracelet de pics et d'or.


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C'est par cette hache magique des anciens temps qu'Helvetorh tua des centaines de miliers de braves et honore la lignée de la maison Bal-Sagoth.
NAPALM
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   Posté le 26-04-2004 à 13:45:04   Voir le profil de NAPALM (Offline)   Répondre à ce message   http://www.nainwak.com   Envoyer un message privé à NAPALM   

J'était dans l'immense file d'attente a l'entrée de NWU, heureux de voir autant de monde se dévouer pour une si noble cause et inquiet a l'idée que je pourrait ne pas être appelé... Ne sachant que faire ni a qui parler j'ai écouté d'une oreille discrete autant qu'attentive les conversations qui se déroulaient autour de moi... Le sujet de discussion principal était un nain, celui-ci serait un ancien commendant des armées elfes et certains assurenet même qu'il en aurait été le roi... je ne sait quelle suite donner a toutes ces rumeurs mais si ce Igor (c'est ainsi qu'il se prénomme m'a t'on dit) est vraiment aussi fort que ce que l'on dit j'espère ne pas avoir a le combattre de si tôt, je pensait être a la pointe de la connaissance guerrière et voila que toutes mes certitudes s'effondrent, j'ai l'impression d'être un novice comme le jour ou je fut intégré à la secte...
en regardant derrière moi je vis que plusieurs centaines d'autres aspirants étaient arrivés après moi et parmis eux je cru reconnaitre un instant la silouhette encapuchonée qui m'avait suivi mais l'image fut fugace, je ne sait si je fut abusé par un reflet ou si la personne s'est disimulée dans la foule mais savoir que mon "ange gardien" qui m'avait aidé durant mon voyage était peut-être la me rassurait un peu...
L'attente était vraiment longue et les abords de la NWU ne sont pas les terres les plus réjouissantes que j'aie traversées depuis ma sortie de l'anneau de Krom, on voit encore les traces des dragons utilisés pour porter les immenses pierres en hauts des batiments et des tours, tout ici n'est que ruine et désolation, seul se dresse l'université, a flanc de montagne, comme la porte d'un monde meilleur ou le mal serait défait et où les guerriers triompheront (et accessoirment connaitront peut-etre leur passé dans mon cas)

1/2 heure plus tard:
je m'assoupissait quand je fus certain de la présence de mon protecteur, celui ci passa juste a coté de moi dans sa cape de voyage qui n'était pas comme je l'avait cru celle de la secte, il avait été appelé avant moi mais je n'avait pas fait attention a son nom dans le bruit qui régnait sur cette esplanade. En passant, il me posa la main sur l'épaule, signe de bienveillance et je vis briller ses yeux dans l'ombre de son capuchon, des yeux que je me rapellait avoir vu un jour... tout ce que je su a cet instant c'est qu'il sagissait d'une femme, son parfum se répendait en effet dans l'air, bien distinct de l'odeur de cuir qui environnait les autres, engoncés dans leurs armures et tenant leur épée comme des paysans tiennent leur bèches. Le seul qui avait une quelquonque prestance était un homme très discret, très mystérieux, il faisait dans les 1m80 et portait des bracelets a piques aux poignets. Il semblait épier les moindres faits et gestes de ceux qui l'entourait en gardant lui même une immobilité parfaite, soudain, sans que je sache comment, il disparut dans la foule mais je senti encore longtemps son rgard comme si il continuait d'observer dans l'ombre ou il était partit.

Fatigué par mon voyage (n'oublions pas que je suis pas sportif et plutôt gras du bide) je me suit trouvé une première quète: trouver un coin pour m'asseoir, ce qui allait être dificile dans une plaine rase et entre nous, une halbarde n'a jamais fait un bon tabouret.


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better
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   Posté le 26-04-2004 à 20:25:42   Voir le profil de better (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à better   

Igor le Terrible fils de Leetah mage de Obéron Roi de Elfes:

Pendant que je me rendais jusqu'au lieu de rendez-vous que cette lance ambulante et impolie m'avait donné (il ne m'a même pas donné son nom le gueu) je regardai autour de moi, je me demandais pourquoi il n'y avait pas le moindre cheval en vue, avec tout ces rustres qui tiennent leur épée comme un palefrenier tiendrait sa fourche à fumier. Je marchai d'un pas assuré puis peu à peu je remarquait que ces manants me suivaient tous des yeux, l'air totalement ébahi. Plusieurs fois je regardais derrière moi pour connaître la source de leur éberluement mais je ne voyais rien d'autre qu'un autre troupeau d'humains dégénérés. Moi qui espérai rester discret grâce à ma taille, c'était raté, en plus dès que je voulais demander à un quidam la source de son évident problème il se mettait à courir loin de moi. J'essayais en vain de me concentrer sur mon imminent combat. Voilà que j'arrivai devant une énorme bâtisse qui semblait bien être l'arène. J'y entrait quant un jeune homme me prit à part, il m'expliqua rapidement les règle du combat. Incrédule, j'appris que ce n'était pas un combat à mort, voilà donc pourquoi il y a autant d'étudiant ici, ce serait donc du gâteau.

On me poussa par un portique et je me retrouvai dans une arène digne du Colisée, les gradins étaient si haut que ça me donnait le vertige, et toute la populace hurlait mon nom (en l'écorchant, ces ignares d'humains!). Soudain tout les visages de l'assistance se tourna avec effroi. C'est alors que je vis mon adversaire, le pauvre, il avait enlevé sa cape et était encore plus maigre que mon souvenir, je me retins de rire en lisant la crainte sur les visages du public. Je redevins sérieux on cria mon nom et celui de mon adversaire, ce nom était une sorte de borborygme imprononçable, digne d'un humain. On lança le départ, mon adversaire et moi nous précipitâmes l'un sur l'autre, je levai ma hache pour lui défigurer sa sale trogne, quand ce lâche me saute par dessus. Je m'arrête et me retourne, l'arène entière éclate de rire, ils se moquent surement de sa lâcheté. Soudain un objet frappe ma hache de plein fouet, c'est une étoile ninja logique pour un humain, il craint le contact, ce gueux. Je cours dans sa direction et il en fait autant, nous nous arrêtons, deux mètres nous sépare, puis il se lance sur moi en dégainant unkatana je me souviens très bien de cette arme originaire de l'est elle a grand point fort, sa maniabilité, mais aussi un grand défaut elle ne possède pas de garde, je n'ai donc pas d'espoir avec ma hache je la rangea en esquivant son attaque (qui m'ôta de la fierté, une touffe de cheveux) je sorti ma fidèle Barbarian II de mon étui dorsal (1m30 de long pour un kilo), avec elle je ne crains rien. Je contre toute ses attaques sans pour autant parvenir à l'offensive, ce bougre de chien galeux se défend comme un vrai guerrier, nos armes s'entrechoquaient en produisant des jets d'étincelles, je réussi à stopper sa lame en plein mouvement, nous tentions chacun de faire céder l'autre (c'est à ce moment que je suis heureux d'être un nain et pas un humain rachitique) . Je retenais sa lame à l'aide d'une main à présent, le pauvre maigre a failli en perdre les yeux, de l'autre main je sorti ma francisque et lui fracassa son katana, ce n'est pas pour rien que ce sont les nains qui forgent les meilleurs lames et en gardent les secrets. Le pâle mécréant se mit à fuir, espérant sûrement m'épuiser à la course, je ne m'abaissa pas à le suivre, je lui lança ma francisque afin qu'elle lui casse les genoux, maladroit comme je suis je ne lui en cassa qu'un. Je le rejoignis pour lui cracher à la figure, mais le chien se tortillais, alors que je me penchai pour observer quelle démon l'avait envahi, il m'agrippa la barbe et s'y pendit tout en me plantant une dague entre les côte. Le pauvre fou, toucher à la barbe d'un nain, sacrilège! Empli de rage je pris ma francisque et lui fracassa les trois membres restant, alors que j'allai passer à la tête je me rappela que ce n'était pas un combat à mort. Je le laissa donc étalé au sol, je sorti alors que la foule braillait mon nom, en sortant je demanda a un géant où était la taverne, en me l'indiquant il osa rire, son pied se rappellera à jamais qu'on ne prend pas un nain à la légère.

Message édité le 26-04-2004 à 20:28:14 par better


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   Posté le 26-04-2004 à 23:44:43   Voir le profil de My_immortal (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à My_immortal   

Cela faisait déja 3 jours que la course à l'inscriptions pour la NWU avait commencé. Maintenant, les prétendant rentrent au compte goutte.

Haut parleur:
"Arnathor, vous pouvez entrer dans le campus."

Une jeune demoiselle portant l'uniforme de l'université vous attend à l'entrée du campus. Elle vous dit:
"Vous avez été recommandé par une personne qui a souhaité rester anonyme. Vous êtes donc d'office accépté dans l'université. Cependant, si vous souhaitez faire partie des troupes d'élite, vous devrez accomplir une épreuve. Un brigant s'est introduit dans le campus, nous n'arrivons pas à mettre la main sur lui, et nous manquons malheureusement de monde pour pouvoir le rechercher efficassement. Si vous réussissez à l'expulser du campus, par la force si il le faut, vous serez admis dans le groupe d'élite. Vous avez jusqu'à ce que le soleil se couche. A vous de jouer!"

Quelques temps après:
Haut parleur:
"Helvetorh du Bal-Sagoth, vous pouvez entrer dans le campus."

Un groupe de 3 officiers de l'université vous indiqua de les suivre. Arrivé dans un coin à l'abrit des regards, un coin reculé de l'université, ils vous disent:
"On a entendu une rumeur venant de plus haut au nord sur toi. On aimerait connaître ton passé et savoir si cette rumeur est bien réelle. Si tu nous le dit, on te donnera ceci." Un des trois officier sortit un badge de sa poche. "C'est le badge est que recevront les admis dans le groupe d'élite. Au contraire, si tu refuses de dévoiler ce que nous voulons savoir, tu risques bien d'être admis dans le royaume des ombres pour l'éternité!"


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   Posté le 27-04-2004 à 12:31:50   Voir le profil de NAPALM (Offline)   Répondre à ce message   http://www.nainwak.com   Envoyer un message privé à NAPALM   

Arnathor

pensée: "Hé ben si c pas la chance, alors que la plupart des employés sont des hommes voilà que je suis acceuilli par une jeune fille, en plus elle est pas trop mal roulée, je vais tenter de trouver ce p*** de baveux de brigand comme ca je la reverrait peut-être..."

j'ai donc commencer a déambuler dans les immenses couloirs de l'uni... comparé à ca le centre d'entrainement de la secte avec ses murs bleus clairs, son sol noir ou en plancher et ses barraux aux fenêtres me semble une prison minuscule... ici on a vraiment l'impression de respirer, d'avoir la place, n'importe quel couloir ferait l'affaire pour se battre contre une vingtaine de soldats...
Ainsi donc l'encapuchoné me connaissait vraiment, jusqu'a mon nom... pourtant j'avait encore de gros doutes sur son identité.
J'ai réfléchi à ou pouvait se cacher le brigand, étant entré par effraction il était clandestin et ne pouvait pas se montrer au grand jour donc il n'aviat pas accès aux tavernes et devaient pourtant manger... sa cachette devait donc être dans la réserve d'une auberge, j'ai commencé par les plus grandes et les plus prestigieuses de la NWU, déja remplies de soldats malgré la nouveauté de l'uni. Les elfes trinquaient avec les nains, les orques avec les hommes, tout le monde semblait uni contre l'Empire et pourtant je me doutait bien que si ils devaient se battre entre eux cela serait avec acharnement.

Nulle part je ne réeussi a mettre la main sur ce manant qui savait visiblement se cacher. C'est alros qu'au détour d'un couloir je vit une sillouhette en capuchon, je me mit a courir mais l'ombre pris un petit couloir de traverse et a mon arrivée il avait disparu...
Je m'appretait à repartir lorsque je vit, dans l'ombre, un petit baraquement, une espèce de chaumière a l'intérieur de l'université avec une plaque sur la porte qui nommait l'endroit: "la cache du brigand" on pourrait croire que ce serait un peu facile que ce brigand se cache la mais il s'agissait d'une auberge, surment créée pour le personnel. Je suit donc entré, la salle était minuscule par rapport à ce que j'avait vu. Quelques tables en bois avec des bout de troncs comme tabourets étaient eppapillés a travers la pièce, au fond une planche posée sur deux tonnaux de bières vides servait de comptoir, derrière le comptoir l'aubergiste mettait en perce un nouveau tonneaux, histoire de voir si il était bon pendant qu'il n'y avait pas de clients. Je me suit approché de lui et lui ai demandé si je pouvait visiter sa réserve. Le tenancier, voyant que j'était d'un rang social plus haut que celui de ses clients habituels, ne fit pas de manière et consentit mais me prévint qu'il n'y était plus allé depuis longtemps et qu'il devait y avoir un peut de désordre. Il souleva une trappe derrire le comptoir et me fit descendre l'escalier en bois. A peine en bas j'entendis la trappe se refermer et qu'on glissait un tonneau dessus. Cet aubergiste n'était pas si honnète qu'il en avait l'air et le premier brigand de son auberge était bien lui. Comme j'était dans la réserve je pris la peine de la fouiller et j'ai remaqué qu'au milieu des cageots de carottes un homme avait fait un lit en empilant des couvertures. En dehors de cela il n'y avait aucune autre trace du brigand et, saisissant ma hallebarde je m'en servit comme d'une barre à mine pour faire éclater le bois de la trappe et celui du tonnau, après cete douche de vin forcée j'ouvrit la trappe d'un coup d'épaule et sugrit dans la salle. Voyant le pseudo aubergiste tramblant devant ses tonneaux j'abbatit ma hallebarde que j'avait toujours en main sur sa tète, coupant en deux l'infâme. Ceci étant fait je me suis précipité a l'arrière de l'auberge, ou j'ai trouvé, comme je m'y attandait après mes découvertes de la cave, le véritable aubergistes, bailloné et ligoté sur son lit dont les draps avaient été retirer (je compris a l'instant d'ou venaient les couvertures). Libérant l'homme je revint dans la salle, saisit les deux parties du corps du brigand, les mis dans un tonnaux vides et alla le faire rouler jusqu'a la porte de l'uni ou, d'un cuop de peid, je le fit s'écraser au milieu de la file d'attente, poru la plus grande épouvante des crâneurs et des grandes gueules et pour le plus grand plaisir des vrai soldats qui voyaient qu'on pouvait vraiment faire quelquechose de bien dans la NWU.
Après être retourné boire une bière à "la cache du brigand" désormait pleine a craquer suite à la notoriété soudaine de son possesseur je me suit dirigé ver l'endroit ou j'avait croisé la donzelle espérant être admit dans l'élite ainsi qu'elle me l'avait promis.


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   Posté le 27-04-2004 à 21:24:41   Voir le profil de better (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à better   

Après avoir bu ma neuvième chope je réalisa que tout le monde me regardais avec des yeux encore plus grand qu'avant, je les ignora, comme ma cotte de maille me démangeais je voulu l'enlever, mais quelque chose la retenait à moi, je regardais et reconnu la dague de ce chien d'humain. Je la retirai alors que la foule se resserrait contre moi sans que je sache pourquoi, je me fis un bandage avec des herbes que j'avais en réserve et décida de rendre cette arme à son propriétaire (après la 10ème chope) , si détestable fut-il, on ne dira pas qu'un nain a volé quoi que ce soit. Je demanda au premier palefrenier que je croise où se situait l'infirmerie, il me l'indiqua du manière tellement confuse que je ne sus de quel recette gastronomique il parlait, je le pria donc de m'y conduire. Sur le chemin je lui demandais s'il avait entendu parler de moi, il me répondis que oui, tout le monde ici ne parle que de moi. Je lui demanda ce qu'ils pouvaient bien y trouver d'intéressant, c'est alors qu'il me parla de ma victoire face à cinq géants et trois trolls à mains nues, sans compter des transes humains écrasé lorsque j'avais les main attachées, j'appris beaucoup de choses en l'écoutant et en m'extasiant devant l'imagination de ces bellâtres. Comme le chemin était long je lui demandais ce qu'il savait de mon premier adversaire, il me dit ne connaître que son grade au sein du campus, il me dit qu'il était surveillant assermenté, je failli en perdre la barbe, ce n'était donc qu'un larbin, un fantoche, un homme de main, on m'avait donc ridiculisé en m'envoyant un adversaire de seconde zone. Mon compagnon me précisa que ce poste était réservé aux étudiants de troisième année qui n'avait pas d'autre revenu. Nous arrivâmes à l'infirmerie, je lui lança 5 GP en le remerciant.

L'infirmerie était un bâtiment de taille moyenne par rapport aux autres, comme tout les autres bâtiments les plafonds étaient gigantesques. Je me présenta devant l'accueil à un vieil aveugle, je lui demanda où se situait mon adversaire il me le dit tout en me l'indiquant à l'aide de gestes ce qui me fit penser qu'il avait passé sa vie dans cette infirmerie, le pauvre fou, il faut être malade pour rester toute sa vie dans une infirmerie. Je trouva mon adversaire paisiblement endormi, je lui cria de se lever, ce qui réveilla tout le dortoir au grand dam des infirmières. Il se réveilla l'air abasourdi, je lui tendis sa dague rouge de mon sang. Il la repris toujours aussi brumeux, je lui demanda qui l'avait envoyé pour me défier, il me répondit qu'il avait prêté serment, après deux brèves accolades pour le faire réfléchir je lui demanda s'il voulait que je brise moi-même son serment de mes mains ou s'il allait s'en charger. Ce chien galeux refusa, je lui pris donc le nez entre les deux paume et me mis a tourner, il se moqua un instant de moi puis hurla tellement fort que je décida de vite le lui casser par respect pour les autres malades. Le nez en sang il me dit que le directeur lui-même lui avait envoyé un coursier pour lui demander de me défier, je lui tapota la joue pour le félicité, il hurla de douleur, j'ai dû lui casser la mâchoire, que c'est fragile ces grand machin.

Je me rendis jusqu'à une grande bâtisse qui me semblait la plus parée de décoration du campus, j'en conclu, avec raison, que le directeur y vivait et y travaillait. Je voulu frapper à la porte mais deux olibrius se mirent sur mon chemin, paix à leurs âmes, je frappa donc à une grande porte de fer, il y eût un grand bruit à l'intérieur, j'espère que cet animal de directeur ne lisait pas dans les pensées, sinon je ne ferais pas long feu ici, m'envoyer un larbin me défier! Je n'avais toujours pas digéré l'information.


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   Posté le 27-04-2004 à 22:58:44   Voir le profil de My_immortal (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à My_immortal   

La jeune demoiselle portant l'uniforme de l'université rejoint Arnathor. Elle lui dit:
"Wahou! Vous y êtes pas allé de main morte avec lui. Comment avez vous fait? 5 officiers l'ont cherché pendant plus d'un jour sans succès Vous avez pleinement réussi votre épreuve!." Elle sortit un objet de l'une de ses poches.
"C'est le badge que recoivent les élèves admis dans le corps d'élite. Il est à vous. Les premiers courts commenceront dans 5 jours. Vous avez quartier libre jusque là. Je vais vous conduire jusqu'à votre dortoir." Arrivé devant la porte d'entrée du dortoir, elle déclara:
"Ah, j'ai oublié de vous dire. Vous reçevrez votre uniforme demain. Et dans trois jours, il y a le bal de l'université qui aura lieu dans la grande salle dès 18 heures, uniforme obligatoire. Il faudra profiter, c'est le seul jour de l'année sans couvre feu à minuit. Voudriez vous être mon cavalier?"


Pendant ce temps, dans une salle sombre du batiment principal de l'université, un officier rendait une visite inquète au directeur .
"Monsieur le directeur, j'ai à vous parler, c'est d'une importence capitale!
- J'avais pourtant dis à ce que l'on ne me dérange pas!
- Je sais bien monsieur le directeur, mais c'est vraiment important!
- Très bien... je vous écoute.
- Un des nouveaux étudiants a fait un véritable scandale dans l'infirmerie, il a salement blessé un officier, et il tente d'entrer de la batiment.
- Le nain...
- Oui, c'est lui. Comment le savez vous? Je ne vous l'ai pas encore dit!
- Comment croyez-vous que je suis devenu directeur? hein?
- ... Il est peut être une menace pour tous les nouveaux officiers!
- Envoyez lui un nouvel officier qu'il tente de le calmer. Dirigez le ensuite vers un dortoir privé. Et n'oublier pas de lui donner le badge de l'élite et de le convier au bal de l'université dans 3 jours!
- Mais... Monsieur... Il...
- Stop! Ce nain est quelqu'un d'influant d'où il vient, et un guerrier redoutable. Il serait stupide de l'avoir comme ennemi.
- Bien... et si il ne se calmait pas?
- Il sera bien obligé de monter à pied les 13 étages, l'ascenseur étant en panne. Appelez moi si il atteint le 10iem étage. Mais il se calmera, j'en suis persuadé. "


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   Posté le 27-04-2004 à 23:55:06   Voir le profil de NAPALM (Offline)   Répondre à ce message   http://www.nainwak.com   Envoyer un message privé à NAPALM   

Arnathor

La jeune femme partie je me suis mi a observer la chambre, une chose me frappa: je n'aurait jamais la place de ranger ma hallebarde si quelqun d'autre partageait ma chambre... Afin de palier cela je me saisit du lit en question et le sortit dans le couloir ou j'avisa un domestique, lui envoyant l'objet dessus je lui hurla que je n'avait que faire d'un deuxième lit, qu'un seul me suffisait et encore après toutes les nuits passées sur des cailloux. Bien que serieusement amoché 8tout le monde n'est pas résistant) le domestique réeussit a dire que les dortoirs étaient fait pour deux personnes. Je le savait mais j'était surtout bien décidé a ne pas avoir de deuxième personne aussi hurlai-je encore plus fort que si je n'avait pas une chambre pour moi seul dans une heure je ne lançait plus des lits mais des haches sur les domestiques. L'idée de se retrouver avec une lame entre les deux yeux du les impressioner car moins d'un quart d'heure plus tard un autre de ces manants vient m'annoncer que j'était libre de dormir seul dans ma chambre. Celui la du être soulagé de sortir entier de la pièce car je le vi assi contre le mur, tetant encore de reprendre son souffle lorsque je ressortit de ma chambre, une dmei heure plus tard.
Cinq jours a passer dans une uni si on a rien a faire c'est long aussi ai-je décidé de retourner (encroe, je sait) dans la taverne "la cache du brigand" en me voyant entrer le patron fit immédiatement libérer une table et mi un tonneau de sa meilleure bière en perce. La taverne avait bien changé en quelques heures, toute la salle avait été nettoyée, 3 seveuses (assez mignonnes tout compte fait) servaient la bierre des des pots neufs et surtout un orchestre jouait dans un coin des chansons joyeuses telle que "a l'aventure" ou "la chanson du troll farceur", le groupe se produisait avant dans un village voisin de la NWU à "l'anguille crevée" mais le bistrot avait du fermer car un dragon avait malencontrueusement laché un rocher dessus lrs de la construction de l'uni.
Julot (le patron) vient vers moi dès qu'il en eut le temps. Il ne tarrissait pas d'éloges sur la manières dont je l'avait sauvé, me racontant qu'il aurait aimé lui même être admis en tant qu'élève à la NWU mais son âge (65 ans) l'avait forcé à tenir cette taverne. Notre discussion dura longtemps et soudain nous nous sommes retrouvés seuls, tout le monde était partit a la cantine pour manger. Je m'appretait à me lever quand mon nouvel ami me dit de retser pour manger, ce que j'acceptait de bon coeur car une cantine reste une cantine et rien ne vaut les plats préparés spécialement pour vous par un connaisseur. L'autre avantage de ce rapas fut que je pu me resservir plus que les 2 fois réglementaires (augmentant ainsi de quelques milimètres mon tour de taille déja imposant) et lorsque je fini enfin mon repas, il était l'heure pour Julot de reprendre le travail, les premiers clients revenant de leur promenade digestive.
Habitué depuis des mois à vivre au grand air je commencait à me sentir à l'étroit dans cette université malgré son immensité et je me suit donc dirigé vers la porte principale. Les officiers de garde avaient de plsu en plus de mal a contenir la foule désireuse de rentrer et a les entendre il n'était pas exclus de tailler ce qui dépassait de la foule à la hache et au cimeterre si la situation ne se calmait pas. Je pu sortir sans problème du batiment après qu'on m'aie rapellé lheure du couvre feu et par conséquent de fermeture des portes. Une fois dehors je me suit mi à longer le batiment pour m'éloigner de la porte et de la cohue qui y régnait. La plaine parraissait encore plus dévastée de nuit que de jour et la nature en était absente. Pourtant un rayon de lune parvint soudain à percer entre les nuages et il atteignit, à quelques metres de moi, ce qui devait être la seule fleur présente à plusieurs kilomètres à la ronde. Séduit par ce spectacle (on peut être bourrin et poétique) je me mit a songer à la jeune fille que j'avait rencontré quelques heures auparavent et avec qui je devait danser 3 jours plus tard. Considérant cette fleur comme un présent de qualité du fait de sa rareté dans la région je la ceuilli et repartit vers ma chambre.
En entrant dans la pièce un relent de parfum m'ateignit, le même parfum que j'aviat senti le matin en attendant d'entrer dans l'uni. sur le lit la capuche de voyage avait été jetée mais je ne vit nulle trace de mon visiteur. Malgré les bontés que mon "ange gardien" avait eues pour moi durant mon voyage je commencai a m'inquiéter, cette femme semblait savoir beaucoup de choses sur moi et surtout devait avoir des contacts hauts placés dans l'université pour avoir obtenu le numéro de ma chambre...
Je sortit en courant de ma chambre et demanda à tout les domestiques que je pu trouver dans le couloir si ils avaient vu quelqun entrer ou sortir de la chambre mais même les officiers de garde aux deux extrémité du couloir n'avaient rien vu. Ou ils ne faisaient pas bien leur travail ou ils avaient été payés, impossible d'en savori plus. irrité je suis retourné dans ma chambre mais cette fois la cape n'était plus sur le lit ou je l'avait laissée, elle était accrochée à une patère de l'entrée. Je n'avait pas quitté le couloir et n'avait tourné le dos que quelques minutes pour discuter avec chaque officier, la personne qui s'amusait a me rendre des visites pendant mon absence devait donc avoir sa chambre dans le même couloir, peut-être même à coté de la mienne...
tout ces éléments se croisaient encore dans ma chambre quand il fut l'heure de dormir. Mon sommeil fut agité, tourmenté par des rêves étranges ou une silhouette en capuchon me suivait dans un labyrinthe de couloirs, se rapprochant inexorablement, une lame à la main, ses yeux brillant dans l'ombre d'une lueure froide et cruelle. Je me reveillait en sursaut a milieu de la nuit juste pour voir la porte de la chambre se refermer sur l'encapuchonée qui sortait précipitament avec sa cape de voyage, j'entendit distinctement le bruit de la clef dans la serrure et cela me conforta dans l'idée que cette personne ens avait plus sur moi que je ne m'en doutait. Rassuré pourtant de voir que les intentions de cette femme n'étaient pas hostiles je me rendormi, d'un sommeil plus calme.

L'edit c simplement corriger une gross faute d'ortho et effacer la dernière phrase qui avait rien a fouttre ici mais ca change rien pour l'histoire

Message édité le 28-04-2004 à 00:04:52 par NAPALM


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   Posté le 28-04-2004 à 10:47:18   Voir le profil de My_immortal (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à My_immortal   

Lloyd
Je me reveilla en sursaut, réveillé par un puissant hurlement. Je m'assis sur le bord de mon lit. Il y avait une lettre avec un badge posé sur ma table de chevet disant: "Felicitation, tu as réussi l'épreuve d'entrée dans les forces d'élites de l'université. Tu es cordialement invité au bal de l'université qui aura lieu dans 3 jours. Profite bien, les cours commencent dans 5 jours! Ton numéro de dortoir est le 1803. Bonne chance!"
Je me leva, et me dirigea vers la sortie. Je vis passer une personne vétu d'une robe et d'un chapeau blancs avec un baton dans la main. Il entra dans une pièce où s'affairaient des infirmières. Je demanda ce qui se passait. Elle me répondit qu'un des élèves avait agressé un officier, mais que le grand mage blanc Tomsadoum allait le remettre sur pied en moins de deux! On dit qu'il maitriserait toutes les magies blanches de niveau 5.
Ensuite, je sortis de l'infirmerie. Le campus de l'université presque totalement desert lors de mon premier passage était désormais bien rempli. On pouvait y rencontrer toutes sortes de personnes. Des grands chevaliers en armure, des ninjas, des amazones, des vikings, des celtes, des elfes, des nains, quelques orcs, et d'autres dont je ne connaissais jusque là pas l'existence. Il y avait une majorité de représentants masculins, mais la gente féminine n'était pas en reste! Je me dirigea vers la bibliothèque, espérant trouver quelque chose qui pourrait m'aider à trouver l'emplassement de la prison de mes soeurs. Mais... dans cette immence bibliothèque, chercher un ouvrage sans savoir précisément ce que l'on cherche était totalement futile, il y a tellement d'étagères avec des manuscrits, des livres partout dans des langues les plus variées... Je me trouva donc pas ce que je recherchais. Le soleil se couchait déja. Je me dirigea vers la cantine pour souper. C'était pas un restorant 5 étoiles... Et en plus, interdiction de se resservir plus de 2 fois, c'est totalement débile! Enfin... j'piqua une pomme, et partis profiter de cette nuit sans nuage pour admirer les étoiles. Une étoile proche de la grande ours brillait d'une éclatante force. C'était mon étoile gardienne. Un soir, il y a déja bien longtemps, quand je vivais encore avec mes parents et mes deux soeurs, nous étions tous à regarder les étoiles. On se promit alors que où que nous serons, quelques soient les problèmes qui nous pèsent, nous serions toujours unis. Unis par cette étoile. Aujourd'hui plus que tout, cette étoile est ma force! Tant qu'elle brillera, je saurais que ma quête ne sera pas vaine, et que de jours en jours, je me rapproche de plus en plus de mes soeurs.


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   Posté le 28-04-2004 à 14:57:03   Voir le profil de better (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à better   

Igor le Terrible fils de Leetah mage de Obéron Roi de Elfes:

Après avoir essayé de défoncer la porte à coup de hache je me résigna à attendre qu’on veuille bien me répondre, il y avait toujours autant d’animation derrière la porte. Soudain elle s’ouvrit sur un officier accompagné de dix hommes armés, il ne me prenait pas à la légère, l’officier m’annonça que je faisais partie du corps d’élite, que j’étais convié au bal dans trois jours et que les cours commençai dans cinq jours. Je le remerciai le plus poliment possible, il me demanda encore d’attendre un instant qu’il m’envoie le messager du directeur pour m’indiquer ma chambre. J’attendis ce qui me semblait plus qu’un instant et me préparait à me défouler sur ce messager escargotueux. Lorsque je le reconnu je fus totalement ébahi, c’était le jeune homme qui m’avait indiqué où était l’infirmerie, je lui demanda son nom et il me répondis par geste, je ne compris pas et allait envoyer ma mains dans la figure de ce moqueur quand un des nouveau garde de la porte m’indiqua qu’il était sourd-muet. Une fois de plus je fus plus qu’abasourdi, nous allâmes jusqu’au bâtiment des dortoirs, il me proposa (toujours par gestes) de porter mes affaires, je lui ris au nez, ce n’était pas un gringalet d’humain qui allait m’aider à porter mes affaires. Au septième étage je lui demanda si il y en avait encore beaucoup, j’eus de la peine à comprendre sa réponse, treize, on a pas idée de construire des bâtiments aussi grands. Après une montée interminable nous arrivâmes en nage (moi surtout) au 13ème étage, il m’accompagna jusqu’à mon dortoir qui était dans l’aile la plus éloignée, ma chambre était naturellement au bout du couloir, j’allais le congédier mais il me poussa dans ma chambre et ferma la porte à clef. Et il se mit à parler le bougre, il m’expliqua qu’il servait la famille du directeur, qu’il était le majordome, le messager, le cuisinier, la bonniche et tout le reste, car, disait-il, le directeur était terriblement radin et ne voulait s’encombrer de domestiques à sa charge. Il continua en disant qu’il se faisait passer pour sourd-muet pour être au courant de tout ce qui se disait dans la maison car il était d’une curiosité insatiable, mais il mettait aussi un point d’honneur à ne jamais partager ses connaissances. Il dit que s’il m’avait parler c’était à cause de son admiration pour moi, il en avait oublié son handicape, il me supplia pour que je le prenne à mon service. Je refusa tout net, nous les nains sommes indépendants, mais j’accepta de le garder comme ami et confident. Il m’indiqua comment je pouvais le contacter à tout moment, et il s’en alla. Je ne connaissait toujours pas son nom.

C’est seulement à ce moment que je remarqua la présence de vêtements sur l’autre lit, j’allais donc devoir partager ma chambre, pourvu que ce ne soit pas un humain, sinon il faudra que je fasse mettre des barreaux à la fenêtre pour éviter un accident.


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   Posté le 28-04-2004 à 21:49:34   Voir le profil de NAPALM (Offline)   Répondre à ce message   http://www.nainwak.com   Envoyer un message privé à NAPALM   

Arnathor

La journée suivante fut morne, je ne savait pas quoi faire aussi ai-je décidé de visiter la bibliothèque. En cherchant au hasard des rangés un livre qui aurait pu m'interesser je suis tombé (facon de parler) sur "ma" jeune demoiselle de l'uni, celle-ci me fit un sourir des plus gracieux et me demanda comment j'allait. Nous avons échangé quelques banalité tout en nous promenant dans l'immense bibliothèque et avons finit par revenir à l'entrée. Me rappellant alors la fleur que j'avait trouvé le jour avant j'ai invité la jeune fille a m'accompagner jusqu'a mon dortoir afin de lui faire un présent. Une fois seuls dans la pièce je lui ai offert la fleur, sa gratitude fut au delà de mes espérances, voila 2 ans qu'elle travaillait dans l'université, à tout préparer pour l'ouverture et elle avait oublié jusqu'au parfum des fleurs. Bien décider a battre le fer tant qu'il est chaud je l'ai ensuite emennée chez julot pour lui offrir a manger (ce fut une des rares fois ou j'ai payé quelquechose a julot et j'eu dailleur de la peine a lui faire accepter mes 2GP, surtout lorsqu'il sut que c'était ma fortune d'alors). Comme il n'était pas l'heure de mange nous nous sommes contenté d'un ours a la bière accompagné d'un demi chacun du même liquide. En quittant la taverne quelle ne fut pas ma surprise de voir la demoiselle embrasser Julot comme si c'était quelqun de sa famille, c'était en fait son père, ce qui accrut encore ma sympathie pour ces deux personnes.

Ayant laissé la jeune fille retourner au travail je me suis a nouveau (ou encore, comme vous voudrez) dirigé vers mon dortoir. en arrivant dans le couloir je fut saisi par une odeur de pourriture, regardant derrière une colonne je vit le domestique que j'avait assommé le jour d'avant couché par terre, mort, le sommier du lit encore enfoncé dans son crane. Sasit d'une certaine pitié (je devait être dans un bon jour) j'ai utilisé mon sort "vie" afin de le récussiter. En revenant à lui il fut terrorisé de m'apercevoir mais sa peur se changa vite en gratitude quand il su que c'était a moi qu'il devait cette deuxième vie. Je lui ai conseillé de quitter l'université, l'endroit n'étant pas fait pour les gens fragile comme lui, lui conseillant de devenir cultivateur dans quelque région calme (pour peu qu'il en reste sur cette terre), conseil qu'il trouva fort bon et qu'il me jura de mettre en application, avant de partir pour sa nouvelle vie (on le saura qu'il était récussité, faut que je trouve autre chose la prochaine fois que "nouvelle vie) il me donna lui aussi un conseil ou plutot une information: l'amitié que Julot me portait n'était pas seulement due à son sauvetage mais, d'après le domestique, il verrait en moi le "remplaçant" de son fils, disparu il y a quelques années alors que le projet de l'université n'était pas encore connu internationalement comme aujourd'hui.

De retour dans ma chambre, je me rendit compte du manque de déco de la pièce et, attrapant mon canif, je me mit à graver un bas relief sur le mur opposé au lit, cela me prit le reste de la journée pour arriver a graver de manière ressemblante le visage de la jeune femme qui décidément me plaisait beaucoup. Le soir une chose me frappa: pour la première fois depuis des mois je n'avait vu aucun signe de mon encapuchonée, cela voulait sans doute dire que j'était pour l'instant hors de danger.


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Igor le Terrible fils de Leetah mage de Obéron Roi de Elfes:

Après avoir fait une grande sieste et une courte nuit je me réveilla en effectuant une suite d’étirements accompagnés de coordinations vocales. Juste après j’entendis une bordée d’insulte sur les nains et les lits trop petits, je ne compris qu’après que c’était mon colocataire qui braillait comme un ours, je me retourna pour voir une paire de genou je leva la tête jusqu’à ce que j’atteigne sa sale trogne, un géant… Je me mis à répondre à ses insultes pour lui expliquer que, ce n’est pas ma faute si il est trop grand pour son lit il n’a cas dormir dehors et que plus c’est grand plus c’est c***. Alors que nous continuions à faire connaissance tout les gardes de l’étage ainsi que tout les autres locataires débarquèrent en criant, je me suis dit qu’ils voulaient aussi faire connaissance, je les accueilli sur le même ton. Nous continuâmes jusqu’à ce qu’un des garde sorte son sabre, c’est alors qu’il nous expliqua, à moi et à mon échassier de colocataire que le milieu de la nuit n’avait été passé que depuis peu et que nous avions réveillé tout l’étage. Les gardes sortirent donc toutes nos affaires, armes, vêtements, lits, mobilier, et ils nous dirent que dans cinq heures soit il n’y en a qu’un qui ressort de la pièce soit nous étions amis. Nous lui lançâmes une bordée d’injure pendant qu’il nous enfermait dans la chambre. Dès qu’il n’y eût plus un bruit nous nous jetâmes l’un sur l’autre et nous battîmes jusqu’à ce que le soleil se lève, à ce moment nous nous étalâmes tout deux au sol en nous insultant et nous nous endormîmes, le garde nous réveillât à l’heure dites et nous demanda si nous étions amis. Nous répondîmes non de concert et alors que nous allions terminer notre nuit il nous donna des coups de pieds dans les côtes pour nous faire remettre en état notre chambre. Puis il nous dit que tant que nous nous serions pas accepté il avait ordre de nous faire travailler sans relâche, il nous fit nettoyer tout les lieux les plus sales du campus sans que nous nous échangeâmes un seul mot, ce ne sera pas un nain qui cédera face à l’adversité. Le garde refusa de nous dire qui lui avait donné cette ordre, j’en avais une petite idée...


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   Posté le 01-05-2004 à 19:45:37   Voir le profil de My_immortal (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à My_immortal   

Lloyd
Pendant ces trois jours, on pouvait sentir une palpable excitation. Surement due au bal. Ou peut-être due au début des cours très proche. Durant ce temps, je ne fis que me balader dans le campus, visiter tous les batiments. L'entrée de l'université ne se désemplissait plus, malgrès le nombre incroyable de refus. J'avais entendu qu'ils ne prenaient plus que les personnes sortant de l'ordinaire. Certains officiers ricannaient devant les paysans venus s'inscrire. J'avais fort envie de leur montrer ce que c'est que le respect. J'avais des fourmis dans ma lame. Mais au moment ou j'allais m'élancer, un officier tomba au sol, transpercé par une vulgaire fourche de bois. Il dut être transporé d'urgence à l'infirmerie. J'étalla de rire! Je savais vraiment pas ce que ses officiers faisaient ici. Cela ne m'étonnerait pas qu'ils soient officiers par interime!
A minuit, le couvre feu était sonné et tous rejoignaient leur dortoir. Sauf peut-être mon camarade qui était dans le meme dortoir que moi. Je ne l'ai toujours pas vu, et cela depuis 3 jours. Etait-il de garde, ou a-t-il trouvé le moyen de passer outre le couvre feu? Il faudra que je lui demande quand je le verrais enfin.


Haut parleur:
N'oubliez pas, ce soir grand bal de l'université dès 18heures! Uniforme de rigeur, sans arme, merci.


Lloyd
Le grand jour du bal était arrivé. Se fut la première fois depuis longtemps que je me sépara mes amres. Je mis mon uniforme flambant neuf qui m'avait été livré il y a un jour de cela. Il m'allait comme un gant. Malheureusement, je n'avais pas trouvé de cavalière. Il faut dire que je n'avais pas cherché... 18 heures, j'étais devant la grande porte d'entrée de la salle, je vis un écriteau interdisant les armes dans la salle. Heureusement que j'avais laissé mon arsenal dans mon dortoir! La salle d'une extreme grandeur était presque irréelle. C'était d'une telle beauté! La décoration était soignée. Sur la scène, l'orchestre accordait ses instruments. Sur le coté, il y avait une table avec des petits-fours (chic!!) et quelques rafraichissements. Tous les participants du bal étaient en uniforme. Cela donnait un coté très classe à la soirée. Plusieurs couples attendaient avec impatience la musique. Je passa à la table des collations. J'y reconnu plusieurs barmans des tavernes de l'uni en train de servir d'autres élèves. Je pris une coupe de champagne et un petit four au jambon. L'orchestre lança la musique. Les couples commencèrent à danser. J'alla m'installer dans un des coins de la salle, buvant ma coupe à petite gorgée tout en regardant danser les couples. Le registre de l'orchestre était composé uniquement de slows, tangos et valses au plus grand bonheur de ces dames.
Vers 19 heures, la salle était presque comble. Toute l'université s'était déplacée pour le bal.
Une jolie demoiselle s'approcha de moi. Elle avait les cheveux chatains avec des merveilleux reflets rouges, les yeux marron d'une insondable profondeur. Elle portait à merveille l'uniforme. Elle s'avança à pas grâcieux en ma direction.
Elle me demanda si je voulais danser avec elle. Sa voix était d'une douceur de miel. Je refusa poliment. Elle insista:
"- Allais, tu ne vas pas rester toute la soirée dans ton coin?
- C'est que je ne sais pas danser.
- C'est pas grave, vient avec moi, je vais t'apprendre. Hop! en piste!" Elle me prit par le bras et m'emmena au centre de la piste de danse. Elle mit mes mains sur ses hanches, passa ses bras autour de ma nuque, se colla à moi, et me dis de simplement suivre ses mouvements. Je m'ensortais plutot bien, mise à part que je lui écrasa les pieds trois fois. Je pouvais sentir son parfum, l'odeur de ses cheveux, et son corps collé contre le mien. J'étais comme dans un cocon, le reste de la salle n'existait plus. Nous étions seul, seul au milieux de l'espace où seule une musique nous parvenait. Le temps avait soudain ralentit son vol, les secondes que l'on égraine paraissait durer, durer. Elle paraissait heureuse. Elle me faisait penser à mes deux soeurs. Ce que j'aimerais pourvoir danser avec elles, les rendre heureuses comme cette fille. C'était la première fois depuis de longue année que je me sentais serain, et paisible. Mais le temps reprit alors son court, la musique s'arreta. Ma merveilleuse cavalière s'excusa comme quoi elle avait quelque chose à faire et partit précipitamment sans meme me dire son nom. Elle venait de me planter au milieu de la salle, mais je ne lui en voulais pas. Je n'ai jamais ressentis de la rencoeur envers une femme, c'était plus fort que moi.
Maintenant qu'elle était partie, je n'avais plus très envie de rester ici. D'ailleur, un officier de haut grade était sur le point de commencer un discourt. J'écouta cependant le tout début du discourt, ce qui me permis juste de savoir que s'étais le professeur de la classe d'élite, Seymour Zaon. Je sortis de la salle tout en prenant une poignée de petits fours. En dehors de la grande salle, il y avait personne. La nuit était fraiche pour la saison et le ciel étincellait de mille feux. Mon étoile brillait encore plus que les autres, telle à son habitude. Puisque ce soir, il n'y a pas de couvre feu, je profita un maximum et resta à contempler le ciel jusqu'à ce que le soleil pointa à l'horizon ses chauds rayons. Puis, je rentra à mon dortoir dormir un peu. Evidement, mon camarde de chambre n'était toujours pas là. Je dormis d'un sommeil sans rêve, jusqu'à ce que quelqun me réveilla en frappant à la porte de ma chambre. J'alla donc ouvrir, les yeux encore mi-clos. Mais derière la porte, il n'y avait personne à part une lettre sur le pas de la porte. Je la pris, la posa à coté de mon lit, et me rendormis.


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My_immortal
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   Posté le 01-05-2004 à 20:22:04   Voir le profil de My_immortal (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à My_immortal   

Dans une salle sombre du batiment principal de l'université, un officier rendait une visite au directeur au sujet de certains élèves flémards:
- Monsieur le directeur, voici les noms des 5 élèves n'ayant pas encore accompli leur épreuve d'entrée. [...] et Uther Pendragon.
- Quoi? Et vous l'avez fait rentrer dans le campus depuis six jours déja?
- Je sais... (n.d.r.l. loool)
- Cela fait six jours qu'il parraisse dans le campus, qu'il profite du gite et du couvert et il n'a meme pas mis les pieds dans l'arène pour son épreuve! Maintenant, cela ne m'étonne plus qu'il soit dans un temps qui n'est pas le sien. Si il met autant de temps pour faire quoi que soit! Il est normal qu'il n'arrivera jamais à rentrer chez lui avec une rapidité pareil! Il se fout du monde! Fouttez le moi dehors du campus! Illico, et utiliser la force si il tente de résister.
- Monsieur, je vous comprend, mais il a été choisi dans le premier groupe, c'est qu'il y a une raison, il a un très grand potientiel!
- Vous me contredites? Voulez-vous, vous aussi, vous faire expulser?
- Non, monsieur le directeur. Mais...
- Taisez-vous! Et obéissez moi!
- Bien monsieur...
- Cependant, si une fois expulsé, il arrivait à rentrer à nouveau dans le campus, faites le intégrer dans une classe débutante. C'est ainsi que nous verrons si il est vraiment motivé à faire partie de mon université!
- Si il arrive à rentrer, n'est-ce pas la preuve qu'il a la sa place dans les troupes d'élite?
- Pffeuh, ça lui fera les pieds!
- Bien monsieur le directeur, je m'en occupe personnellement.


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   Posté le 03-05-2004 à 21:04:02   

J'étais assis sur mon lit, regardant ma lame, luisant à la lumière des lampes de ma chambre. JE ne prétais guère attention à celui qui dormait dans la même chambre. Il était en train de ranger ses affaires. Je sortis un chiffon d'0une armoire, et avec un grand soin, fesait briller mon épée. J'en était extrêment fier. Etonné d'une part par son efficassité et par sa légèreté. Oui, les épées n'étaient pas aussi assèrées et ne pesaient pas ce poid là d'ou je venais. Mais j'avais tout de même, en tant que grand combatant, reçu une épée de haut rang, mais elle n'égalait à aucuns points celle là. J'étais allé visiter la région les premiers jours, et découvrants petits villages et grandes métropoles, je tombai sur un forgeron. En me voyant, il m'invita à venir regarder sa toute nouvelle confection. Elle était sublime, et je demanda de suite au forgeron son prix. Il me répondit qu'elle coutait 500 GP. Malheureusement, je ne savais pas à quoi correspondait cette somme. Je sortis de ma poche une petite bourse, contenant des pièces de chez moi, en or. Je la tendis au forgeron, qui en l'ouvrant vu émerveillé. Je fus d'abord surpri, car ce n'était pas une grande somme, mais içi ça vallait son pesant d'or (ah ah la blague). Je lui demandai si ça lui allait, et sans hésitations, il me remit l'épée.

Durant tout le voyage de retour, je ne fis que contempler cette superbe arme. Voyage tranquil, sans problème. Il n'y avait personne sur les routes.

Je repensais à cet achat.. Quand je fis coupé par la porte de la chambre qui s'ouvrit d'une traite. C'était deux membres de l'université, il avaient un assez haut rang. Isl s'avancèrent vers moins, et d'un ton ferme :
<Mr, vous êtes renvoyé de l'université. Veuillez faire vos affaires et quitter ce lieu au plus vite.>
Je répondis en soupirant:
<Qu'est-ce que vous vouliez de moi ? Un combat ?>
Le deuxième, un peu hésitant:
<Oui, évidement, vous deviez combattre un autre candidat>
Je me lève, brandissant mon épée.
<Eh bien maintenant je suis pret!>
Les deux, impresionnés par mes faits et gestes me dirent qu'ils allèrent en parler avec le directeur et partirent de la chambre, me laissant seul.
My_immortal
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   Posté le 03-05-2004 à 21:21:39   Voir le profil de My_immortal (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à My_immortal   

le directeur et les deux officiers
- Comment ça? vous ne l'avez pas foutu dehors? Vous allez l'éjecter de force si il faut! Je ne le vous repeterai pas! A moins que vous souhaitiez donner votre démission de cette université?
- Bien monsieur le directeur...
- Non.. Attendez... J'ai trouvé... Envoyez le plutot dans les écuries faire un peu de nettoyage! Combattre la saleté! Muahahahaha! Et une fois qu'il aura nettoyer, faites entrer le fauve capturé hier. On verra bien qui ressort les pieds devant...


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   Posté le 03-05-2004 à 21:33:30   Voir le profil de better (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à better   

Igor le Terrible fils de Leeth mage de Obéron Roi des Elfes

Après deux jours de travaux forcés nous ne nous étions toujours pas adressé la parole moi et mon échassiers de colocataire. Contrairement aux jours précédents nous étions les seuls "punis" du jour car les autres se tenaient à carreaux pour être sûre d'assister au bal de ce soir. Ce jour là nous devions vider la fosse sceptique des dortoirs, pour cela imaginez une vaste pièce souterraine qui descend en pente douce jusqu'à atteindre 2m50 et au plafond une multitude d'embouchures d'où tombe ce que je vous laisse imaginer. Enfin nous étions charger de vider tout cela dans un grand trou creusé a un demi kilomètre du campus afin d'éviter les épidémies, le transport se faisait naturellement en brouette, pour parvenir à la pousser je devais lever mes bras au dessus de la tête ce qui était supportable sur 50 mètres l'était beaucoup moins sur 500m. Alors que l'autre bécasse et moi chargions nos brouettes les gardes sortirent pour se préserver de l'odeur pestilentiel à laquelle nous étions habitué. C'est alors qu'au moment où je prenais une bonne pelletée un flot infâme provenant d'un tuyau me tomba sur le visage, alors que je suffoquait encore mon abruti de compagnon d'infortune se ficha de moi comme un gros rustre. Une fois que j'eus repris mes esprits je lui empoigna les deux chevilles et tira un coup sec, a son tour il s'étala dans cette substance innommable pour le combler je le fis glisser jusqu'à l'endroit le plus profond du bassin. Le pauvre une fois qu'il repris ses esprits mit un temps fou à nager jusqu'à la rive puis toussa tout aussi longtemps, il parvint à tout recracher ce qu'il avait avaler, ou presque. Il me prit par surprise nous nous battions comme des fous quand nos surveillants arrivèrent en voyant leur visages stupéfait nous ne pûmes que nous écrouler d'un rire nerveux, ils repartirent et nous recommençâmes notre combat mais en le simulant cette fois-ci et nous rîmes de bon cœur jusqu'à ce que les gardes reviennent et nous chasse à juste raison puisque nous avions rempli notre contrat, devenir ami. Ca me semblait totalement irréel mais après tout j'ai été ami avec des elfes alors que mon peuple était en guerre, mais non c'était sûrement le seul géant qui méritait mon amitié. En rentrant nous passâmes dans les rues animées près de la salle du bal, nous eûmes largement la place car les gens s'écartait de dix pas en nous voyant dégoulinant de merdasse.
Nous allâmes nous baigner dans la rivière laissant des eaux brunes derrières nous, malheureusement l'odeur c'était incrusté dans notre corps et surtout dans ma barbe ce qui fait que nous puiions toujours affreusement. J'arriva au bal et je vis des centaines de piquets plantés beau droits au milieu de la salle, étrangement ils s'éloignaient tous lorsque j'approchai. Je trouva enfin un tavernier qui tenta de me donner de la vinasse pour femmelette qu'ils appelaient champagnes, ridicule! Je trouva peu après un coin où un tavernier avisé vendait de l'alcool pour les vrais hommes, les nains. Il n'y avait ici que des nains je me mis à parler et à boire avec eux, nous discutâmes de nos régions et qualités métallurgiques. J'était en train d'essayer de me rappeler de combien de verre j'avais bien pu vider lorsque un employer de bas étages avec un visages à multiples facettes me brailla ce qui ressemblait être une insulte, moi et mes amis canalisâmes notre fureur contre ce larbin à tête étrange, je remarquai que la salle c'était mise à tourner, quel bonne idée je dansa avec des amies, ou des amis je ne m'en souviens plus, nains. Et nous dansâmes, dansâmes, dansâmes, tournâmes, tournâmes jusqu'à restituer à mère nature l'alcool qu'elle nous avait donné en abondance.


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   Posté le 03-05-2004 à 21:44:28   

Les deux officiers, me rapportants les décisions du directeur, m'envoient à l'écurie, ou je suis reçu par le gèrant de l'écurie. Qui me dit ce qu'il y a à faire. Il y avait juste les box à laver, il fallait tout vider, et nettoyer. Le bâtiment était en pierre, ce qui me donna une idée. Je fis sortir les chevaux et le gèrant, qui ne comprenait pas ce que je fesais. Une fois la pièce vide, à part les crasses qui était partout, et une odeur nauséabonde.

Je me conscentrais... Je mis mon casque. Le gèrant me regardait par la fenêtre. Je lui demandai de se retirer, mais il ne le fit pas sur le moment. J'entamais le moment critique... La chaleur dans la pièce augmentait. même dans la pièce d'à côté la chaleur commença à être insoutenable. Le gèrant s'en alla plus loin. Je me concentrais de plus belle. Je fus heureux de voir que j'arrivais encore à le faire... Mais c'était que le début. Un moment, mon épée se mit à s'embraser ! et fit jaillir des gerbes de feu partout dans la pièce. Et chaqune de ces gerbes fit éclater une fournaise et fit bruler tous ce qu'il y avait dans l'écurie, la paille, les excréments...

J'avais fini. J'attendis que la température baisse un peu pour enlever mon casque et montrer le résultat au gèrant, qui était très impressionné de la rapidité de l'efficacité.

Les deux officiers, satisfaits, m'emmenèrent jusqu' à l'arène ou je devais affronter "le fauve". J'entrai dans l'arène et me mit au millieu. J'attendais, jusqu'à ce qu'une porte s'ouvre. Une fois que ce fut fait, j'aperçu la bête en question. C'était un tigre. Je n'en avais pas peur le moindre du monde. Le tigre s'avança de quelques pas. Je l'attendais, me préparant à esdquiver son attaque. Mais il n'attaquait pas, il me tournait autour, sans me quitter du regard. Après quelques tour, je me résigna à attaquer. Je brandis mon épée et m'avança vers lui et frappa, mais je manqua ma cible. Le tigre contre-attaqua, mais ses griffes ne firent même pas de griffure sur mon armure.

C'est là que je lança ma magie tonnerre. Un éclair, venu de nulle part, vint atterir exactement sur le tigre, le tuant net. Il ne restait plus que son cadavre, victime de convulsions, et fumant...

Message édité le 03-05-2004 à 22:02:50 par Ultima
better
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   Posté le 04-05-2004 à 20:49:32   Voir le profil de better (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à better   

alors que je venais de fermer mes paupières un olibrius qui ressemblait drôlement au précédent vint me secouer et me jeter de l'eau à la figure. Face à cet affront je mis un point d'honneur à calmer les pulsions de cette cervelle d'oiseau. Pendant que je frappait mon agresseur mes compagnons nains se réveillèrent et me portèrent main forte. Le rabat-joie rameuta tout un troupeau de ses semblables qui venaient avec des bâtons. Comme nous n'avions pas d'armes nous prîmes des chaises et des pieds de tables nous parvînmes a défoncer le crânes des cinq premiers qui ne se relevèrent pas, mais les autres étaient tellement nombreux que nous dûmes battre en retraite en jurant vengeance, ils nous poursuivirent jusqu'à ce que nous nous cachions dans la taverne du Nain-Croyable. J'appris par la suite que c'était ici que toute la communauté naine du campus se rassemblait, c'étaient une grande taverne où nous bûmes à notre victoire qui n'en était pas une mais cela importait peu. Quelques temps plus tard le soleil me réveillât, j'était seul, je demanda à une serveuse la cause de leur départ précipité, elle me répondit qu'ils étaient aller se préparer pour les cours qui commençaient dans un quart d'heure. C'est a ce moment que je me souvins que j'était dans une université et que j'avais un marteau qui assénait des coups de marteau dans ma pauvre tête. Je lui demanda où les étudiants de première année devaient se rendre. Elle m'indiqua le chemin vers ce qu'elle appela "le Grand Taudis Toire".


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